La deuxième phase de l’opération grand site (OGS) de la Combe d’Arc est en cours, avec deux nouveaux chantiers :
- Remodelage du secteur de la plage amont
- Prolongation de la liaison piétonne depuis le cœur de site jusqu’au parking Pont d’Arc- Belvédère (ancien parking Tourre).
Cette importante phase de travaux occasionne des aménagements et des restrictions de circulation sur la RD290. L’interdiction de la route des Gorges aux véhicules et piétons est notamment due aux travaux de sécurisation de la falaise. Cette opération, cruciale dans le déroulé des travaux, demande une expertise supplémentaire pour une sécurisation optimale du site et de la liaison piétonne à venir. Elle sera donc prolongée de trois semaines, et les travaux annexes suivront ce calendrier. La route sera donc complétement rouverte le 30 mars.
Conscient de la gêne occasionnée, le Département, en lien avec les entreprises présentes sur le chantier, a mis en place un aménagement pour alléger cette interdiction. Ainsi, malgré les travaux, il sera possible de circuler :
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- Le week-end : toute la journée
- En semaine : avant 8h30 et après 17h30 en semaine
- Et à partir du 19 mars : entre 12h et 13h les mardis et mercredis
Rappel – Les travaux en cours
– Liaison piétonne
Aménagement d’un cheminement piéton sécurisé sur 700m de long qui relie le parking Pont d’Arc – Belvédère en intégrant le belvédère existant. La création de ce cheminement piétonne nécessite la réalisation de trois secteurs en encorbellement de 100m, 35m et 35m. Afin de diversifier le parcours, deux fenêtres paysagères sont ouvertes afin de créer de nouvelles vues sur le Pont d’Arc.
– Secteur Plage Amont
Remodelage des 3 hectares situés entre la route départementale et le bord de l’Ardèche en amont du Pont d’Arc pour retrouver un profil plus naturel et supprimer un grand remblai artificiel. Démolition du hangar rose et construction d’un bâtiment de toilettes sèches entre la plage et le parking intégré dans le talus. Aménagement de plus de 900m de cheminements piétons, réensemencement de toute la surface en prairie avant de les remettre d’ici quelques années en culture agricole avec un cahier des charges environnemental. Plantation d’arbres et arbustes d’essences locales aux abords du bâtiment et en bord d’Ardèche pour renforcer la ripisylve.